Mélancholia, tu as dans tes yeux violets de tendres algues qui dérivent au fil de leurs reflets.
Mélancholia je t'aime et je te rends visite le soir, quand la lumière faiblit et que vient la nuit à pas gris et silencieux.
Mélancholia tu es un doux poison, un pernicieux plaisir dont je sais l'usage et le danger.
Mélancholia, je me couche dans tes bras de soie, tes larmes ont le goût des chagrins d'enfant, tu te parfumes des bonheurs enfuis, des voix oubliées, des espérances meurtries.
Tu es mon aimée et je me méfie de toi, comme l'amant de l'amante dont il sait le pouvoir.
Mélancholia, toute pareille aux eaux calmes et claires d'un lac sous la lune, je m'arrache à toi, cesse de m'enlacer.
Mélancholia, je me couche dans tes bras de soie, tes larmes ont le goût des chagrins d'enfant, tu te parfumes des bonheurs enfuis, des voix oubliées, des espérances meurtries.
Tu es mon aimée et je me méfie de toi, comme l'amant de l'amante dont il sait le pouvoir.
Mélancholia, toute pareille aux eaux calmes et claires d'un lac sous la lune, je m'arrache à toi, cesse de m'enlacer.
Oh oui Orchidée,ne te laisse pas prendre dans les filets de cette enjôleuse.
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