Une aimable plaisanterie attribuée à Mark
Twain - on ne prête qu’au riche - me fait toujours rire, parfois rire jaune …
Ce très cher humoriste anglais, disait :
les femmes se plaignent qu’une fois conquises, leurs amoureux, maris ou amants
ne leur fasse plus la cour…mais enfin, quand après avoir couru derrière un bus
à perdre haleine, on a enfin réussi à sauter dedans, on ne va tout même pas en
descendre pour recommencer la course !!!
Voilà, voilà : depuis Eve sans doute, les
femmes et les hommes ont des points de vue différents sur la question. Eve dit,
“ Tu es tout pour moi “, et elle s’attend à la réciproque bien entendu. Hors,
Adam est bien d’accord… pour être tout pour elle…
Est-ce la fin de l’histoire et du voyage en
bus ?
Peut-être pas car il existe des solutions.
Solution 1 : virer le coureur essouflé hors
du bus, juste pour lui apprendre la vie. Ne pas oublier de ralentir la vitesse
du véhicule, car l’âge venant, il court peut-être moins vite.
Solution 2 : si le premier coureur lâche l’affaire,
attendre d’en voir passer un autre. Choisir un coureur de fond ou encore mieux
un marathonien.
Solution 3 : aménager son bus à sa guise et
se trouver très bien comme ça.
Solution 4 : proposer une partie de cache-cache
au premier coureur, mais à l’intérieur du bus.
And with love, beaucoup, beaucoup de love…pour
les hommes que nous aimons
Comme elle est amusante, et ma foi assez juste, cette métaphore !
RépondreSupprimerMerci pour cet éclat de rire
¸¸.•*¨*• ☆
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAu début, on a toujours normalement le ticket... Ensuite on oublie qu'il faut payer de sa personne ;-))) (on pense qu'on est à l'abri -bus bien sûr)
RépondreSupprimerah! ah!....Bien bon l'abri-bus ;-)))
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